Archive pour la Catégorie 'Non classé'

La situation au Proche-Orient

Comment sortir de cette situation de guerre perpétuelle ? Entre les islamo-fachistes du Hamas et la droite extrême et colonialiste israëlienne, trouver une voie pour la solution à 2 états.

Un texte de Christian Picquet.

http://christian-picquet.fr/2023/11/13/oui-deux-etats-pour-la-palestine/

Contrôle des prix, encadrement des loyers,… Bref, rôle de l’Etat ?

Le prix de l’essence qui galope… C’est un casse-tête pour le gouvernement selon la radio écoutée ce matin. Chèque, pas chèque, à qui ?
Pendant ce temps, ceux qui doivent se servir de leur bagnole pour aller travailler (bein oui, en zone rurale, par exemple, les transports en commun…), ou pour les artisans qui doivent se déplacer, ce n’est pas la joie. Je ne pense pas que les 100 balles évoqués vont régler la question. C’est se moquer du monde aurait dit ma grand-mère ! Et je ne parle pas du chauffage : certains, déjà, savent que l’hiver sera difficile.
J’aurais bien une idée : Rassurez-vous, pas celle de cette folle de Rousseau d’EELV qui veut augmenter encore le prix au litre, promis pas ça, non, non, non, mais encadrer le prix de l’essence comme « dans le temps » ?
Sacrilège anti-libéral, oui, je sais…
« Je vous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre… »
C’est bientôt l’élection présidentielle. Utile de connaitre la conception des candidats sur le rôle de l’Etat…

Mon édito dans le numéro de novembre 2018 de RESO

Nous sortons des cérémonies de célébration de l’armistice de la 1ère guerre mondiale. Le Président n’a pas été capable de traverser cette période –pourtant propice à unité nationale- la tête haute. Outre son invitation à Erdogan, l’islamiste turc, qui a saisi l’occasion pour défiler dans les rues de Paris en faisant le signe des Frères Musulmans, outre, à rebours, « l’oubli » d’inviter la Serbie, alliée fidèle de la France dans ce conflit, Macron a osé évoquer Pétain, le collaborateur antisémite, traitre à la nation, dégradé, frappé d’indignité nationale et démis de tous ses titres, condamné à mort à la Libération (peine commuée par De Gaulle en raison de son âge), parmi les maréchaux à honorer.

 Une gaffe de plus ? On peut se poser la question.

Lire la suite de ‘Mon édito dans le numéro de novembre 2018 de RESO’

Bonjour Caroline !

1erphoto Hier, mardi 25 août 2015, à 23h35, à la maternité de l’hôpital du Blanc, est née ma (future) petite filleule.

Bonne chance dans la vie, petite Caroline !

(Photo 20mn après la naissance Bonjour Caroline ! 5hHuBfsx-hires-s- )

A propos des commentaires…

smiley-langueJe dois fermer la possibilité de faire des commentaires sur les articles de plus de 30 jours.

En effet, ce blog est victime d’une attaque de spams venant des Etats-Unis. Je laisse passer la vague…

Une belle commémoration dans le 20ème

Une belle et émouvante cérémonie du centenaire du 11 novembre 1914 dans le 20ème. Avec une attention particulière aux combattants étrangers morts pour la France.

Merci au Cabinet de Fred et à Thierry pour la préparation de cette cérémonie.

Merci à Janos pour les photos.

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Le MRC-75 pête les plombs

La défaite rend amer, on dirait camarades ?

fichier pdf article du MRC sur candidates RS

Voilà où mène la destruction par Georges Sarre de l’ancien groupe MRC au Conseil de Paris…

Et voilà à quel niveau de mesquinerie (de bassesse ?) est descendue la direction du MRC-75…

En matière de traitrise Pierre Dubreuil s’y connait. Et je lui rappellerai qu’avec les élues qu’il incrimine, je n’ai pas quitté le MRC mais que j’en ai été été exclue parce que je défendais l’idée que le MRC soit présent aux dernières élections européennes et que pour cela il fallait négocier avec le Front de Gauche naissant (voir le film de cet épisode sur la page de ce blog intitulée « au revoir mes camarades ! »). J’ajoute quand même être en possession d’un chef d’oeuvre : la réponse du maître à penser à la lettre d’un général, ami à moi, qui lui reprochait mon exclusion : je peux « revenir au MRC quand je le souhaite eu égards aux services que j’y ai rendus » . Sic ! Non merci, j’ai goutté la liberté de penser et d’agir !

J’attends avec impatience ce que va faire le MRC aux prochaines européennes… lui qui fait déjà alliance dans le 14ème avec ce qui nous était alors présenté comme le diable … :-) . Petite précision : ce n’est pas la liste Front de Gauche que le MRC rejoint dans le 14ème mais la liste du seul PG (le PCF, République et Socialisme, la Gauche Unitaire, membres du FdG, sont sur les listes de la gauche rassemblée avec Anne Hidalgo).

Euh, à propos de « hors d’âge », quel était l’âge de Sarre lorsqu’il s’est maintenu dans le 11ème, éliminant de fait Eric Ferrand ? Quel est l’âge du sénateur Chevènement ? Quel est l’âge du nouveau leader du 20ème, Charzat ?

Je garde, évidemment, toute mon amitié pour les militants parisiens sincères, qu’ils aient quitté ce parti ou qu’ils y soient restés. Notre parcours commun et nos espoirs en l’avenir valent mieux que cela.

 

Bonne année 2014 !

carte-2014

4 BONNES RAISONS DE SE LANCER DANS LA BATAILLE CONTRE L’ANI

 Je publie si dessous une intéressante analyse du texte sur l’ANI (accord national interprofessionnel dit accord de Wagram ou accord MEDEF-CFDT) réalisée par mon ami (et camarade) Michel Jallamion pour République et Socialisme.

Par ailleurs, je vous invite à LIRE cet « ANI » : j’ai remarqué que beaucoup en parlent sans l’avoir lu…

4 BONNES RAISONS DE SE LANCER DANS LA BATAILLE CONTRE L’ANI

La crise oblige les libéraux à justifier le système capitaliste. Ils n’y parviennent pas et redoublent donc de violence de la Grèce au Portugal. En France ils se sont ressaisis avec le rapport Gallois et repassent aujourd’hui à l’offensive avec  l’accord national interprofessionnel (ANI) pour la compétitivité et l’emploi signé le 11 janvier  entre le patronat et des organisations syndicales représentant moins d’1/3 des salariés.  

L’avant projet du gouvernement transmis au Conseil d’Etat,  sous fond de cri d’orfraie du MEDEF, lundi 11 février en est très largement sa retranscription. Elle tente de mettre en avant quelques « concessionnettes » patronales (1) alors qu’il s’agit de la retranscription de la plus grande victoire idéologique des libéraux depuis 1983.En voici les 4 grands principes.

1°) Ne pas prendre 1 euro au patronat…

L’article 7 augmente symboliquement la cotisation chômage des CDD inférieurs à 3 mois – hors intérim et remplacements- de 0,5 à 3 %. Même anecdotique, augmenter les cotisations plutôt que d’exonérer est sympathique. Sauf que justement cette augmentation sera largement compensée par une exonération prévue dans le même temps pour les entreprises embauchant des jeunes… celle-ci ne fait même pas semblant d’être incitative puisqu’elle est de 3 mois pour les grandes entreprises et de 4 mois pour les PME. En quoi amorce-t-elle une solution au chômage de masse des jeunes et à leur surqualification?

Pire lorsque le patronat « accepte » le compte personnel de formation(2) c’est pour le faire relever du « service public de formation ». Le salarié acquiert  un nouveau droit (3) : se renseigner lui-même sur son adaptabilité au marché sur denier public. L’employeur n’est même pas tenu d’accepter l’ouverture par le salarié de son compte de formation sur ses heures de travail.

 2°)…. Sauf pour remettre en cause l’idée de la sécurité sociale généralisée. 

L’article 1er permet l’accès de tous les salariés à une couverture maladie complémentaire d’ici 2016. Le seuil sera établi par un décret dont nous ne savons rien. De plus que devient la sécurité sociale ? Que devient l’idée qu’elle devrait rembourser l’ensemble des dépenses de santé courantes ?

Pour quelles raisons le patronat accepte de financer une complémentaire santé au lieu d’augmenter les cotisations patronales sans diminution des salaires nets afin de permettre un meilleur remboursement pour toutes et tous ? La réponse est simple : une réforme systémique de la Sécu est exigée par l’Europe et le gouvernement la prépare. Pour la fin de la sécu les patrons sont près à mettre (en partie) la main à la poche.

3°) Faire assumer au salarié le risque pris par les détenteurs de capitaux.

Cet avant-projet à vite fait de trouver une solution miracle contre les licenciements, c’est toujours la même   : baisser les salaires et pressuriser les salariés !

Si l’entreprise va mal, un accord d’entreprise pourra ainsi décider  la baisse des salaires, c’est l’article 12 ! Nous sommes au cœur de la logique :  c’est la légalisation  du chantage actuel « soyez licencié ou acceptez une baisse de salaire » . L’article indique qu’il est souhaitable qu’un effort « équitable » de l’encadrement et des actionnaires soit également prévu. Mais si  un réel rapport de force existait pour imposer cela, il serait suffisant pour que 50% de la représentation du personnel refusât de signer l’accord.

Question : qu’arrive-t-il si après quelques mois  du même travail pour moins d’argent (pas plus de 2 ans rassurez-vous !) le patron ne peut « tenir son engagement de maintien dans l’emploi » ? 

Réponse : le salarié touchera les indemnités prévues par l’accord, certainement mirobolantes !

Comment un gouvernement de gauche peut-il décemment présenter cette mesure atroce comme alternative au licenciement ? Comment peut-il appeler cela des «accords de maintien dans l’emploi » ?

 Cerise sur le gâteau le patronat obtient la pressurisation des salariés même quand tout va bien. L’article 10 prévoit que des accords d’entreprises triennaux devront définir une mobilité interne par changement de poste et/ou de lieu : si le salarié refuse, son licenciement sera prononcé pour motif personnel… mais il bénéficiera de mesures de reclassement prévu par l’accord!

En période de crise il s’agit là d’un moyen commode de se débarrasser d’éléments perturbateurs. Désormais un salarié signera un contrat pour occuper un poste… d’où il devra partir si l’employeur le souhaite !

Avec cet accord ce n’est pas aux capitaux de s’adapter à la conjoncture, par exemple en investissant pour rénover ou restructurer un appareil productif, mais aux salariés. 

Pour compléter le tableau  l’article 8 sur l’encadrement du temps partiel fixe la durée hebdomadaire minimale à 24H00 et la première heure supplémentaire sera augmentée de 10%. C’est bien MAIS … sauf accord de branche… ou demande écrite et motivée du salarié. Là aussi en période de crise, cela n’est pas très dur à obtenir par l’employeur !  

Si nous cherchions la petite bête nous pourrions même craindre que l’article 3 qui « permet au x salariés (4) un parcours externalisé de 2 ans » pourrait être commode pour externaliser sa main d’œuvre excédentaire, l’accord du salarié n’étant là aussi pas très difficile à obtenir.

4°) la loi après le contrat ou comment livrer le salarié au patronat.

Loin de revenir sur l’inversion des normes,  la logique du texte est de laisser les « acteurs sociaux » décider au niveau de la branches mais, encore pire, entreprise par entreprise. C’est la fin de l’idée d’égalité républicaine. C’est la fin de l’idée de la solidarité ouvrière. Exit la conception rousseauiste de considérer la loi du plus fort comme un oxymore : la loi ne fait plus qu’encadrer un processus de négociation qui fatalement n’exprimera que le rapport de force en faveur des détenteurs de capitaux. Pire, le texte exige un accord dans les situations critiques, là où il n’existe plus de marges de négociations syndicales. La seule liberté laissé au salarié est d’accepter l’accord ou subir un licenciement économique quand ce n’est pas un licenciement pour  raison personnel.

 Existe-t-il un seul bon article efficace dans l’ANI ? Peut-être, l’article 13 censé remettre en place une autorisation administrative de licenciement. Ce n’est pas rien. Mais le problème est qu’il est tellement important que  le ministère du Travail affirme répondre ainsi à la préoccupation des salariés et du candidat Hollande de lutter contre les licenciements dits boursiers. La messe est dite. 

Cet article vaut pour solde de tout compte. Mettre en place un outil administratif pour « apprécier le contenu du plan de sauvegarde de l’emploi au regard des moyens de l’entreprise » voici tout ce qui resterait  de la lutte contre le monde de la finance promise par le candidat Hollande!

 Nota :

(1) En sus des trois grands axes mis en avant évoqués dans l’article (nouvelle autorisation administrative de licenciement, ouverture de la mutuelle complémentaire et encadrement des temps partiels) nous devons citer la nomination de représentants syndicaux dans les conseils d’administrations (limité aux entreprises ayant plus de 10 000 salariés à l’international ou plus de 5000 en France), le temps partiel réglementé (dérogations multiples possibles), la portabilité couverture santé- prévoyance (quelques mois d’allongement ) et des jours de formation et de chômage (principe prévu à l’article 6 mais aucun contenu. L’accord, lui, fait référence à l’équilibre des comptes de l’assurance chômage qui ne doit pas être remis en cause par cette mesure) .

(2) article 2 de l’avant-projet instituant l’article L 6111-1 du code du travail

(3) spécifié par le nouvel article  L6314-1 de Code du Travail

(4) dans les entreprises de plus de 300 salariés ; il s’agit d’un quasi-équivalent d’un détachement dans le public.

 

MARDI 5 MARS, TOUS À LA MANIF CGT/FO CONTRE L’ANI !

 Pas de transcription dans la loi de l’accord du 11 janvier

Le MEDEF ne fera pas sa loi

 Participez à la manifestation unitaire historique CGT-FO contre le prétendu « accord historique » MEDEF-CFDT, dit accord de Wagram, qui aurait pour conséquence, s’il était transposé en loi, un recul des droits des salariés !

Ci-dessous reprise du tract du Front de gauche sur l’accord MEDEF/CFDT et la mobilisation unitaire du 5 mars

Pas de transcription dans la loi de l’accord du 11 janvier.

Le conseil des ministres du 6 mars examinera le projet de loi qui transcrit fidèlement l’accord dit de «sécurisation de l’emploi», initié largement par le MEDEF. Ce texte, minoritaire, signé par des orga- nisations représentant seulement 38% des salariés, est une régres- sion sociale inédite : temps partiel ajustable, expérimentation du CDI intermittent, mobilité forcée et modulation du salaire et du temps de travail quand il y a des difficultés dans l’entreprise. C’est le retour des accords « compétitivité emploi » de Sarkozy ! Les parlementaires s’apprêtent donc à légiférer à partir d’un projet de loi qui satisfait le patronat, et pour cause : il facilite les possibilités pour les grands groupes de rendre l’emploi toujours plus flexible et précaire. Le chan- tage de la direction de Renault sur les salariés avec l’accord de com- pétitivité anticipe ce que serait cet accord.

Pour les parlementaires du Front de gauche, cet accord minoritaire du 11 janvier ne peut pas être imposé à la représentation nationale.

Le parlement n’est pas une chambre d’enregistrement !

Cet accord n’est pas acceptable car totalement déséquilibré en faveur du patronat qui trouverait là le moyen de casser le code du travail et

 

les acquis sociaux. D’autant que les députés, élus par le peuple sont là pour écrire la loi pour l’ensemble des salariés et pour l’intérêt général. La volonté du gouvernement de transcrire cet accord mino- ritaire en loi en interdisant à la représentation nationale de l’amender constituerait un véritable recul démocratique et une inversion des normes. Pour nous la loi doit rester supé- rieure au contrat.

La gauche a vocation à défendre les intérêts des salariés pas à casser le code du travail.

C’est pourquoi nous appelons tous les parlementaires de gauche à refuser cet accord. Les députés de gauche, majori- taires au parlement, n’ont pas été élus pour adopter «la feuille de route » du MEDEF et de la Droite. Ils ne doivent pas retrans- crire cet accord « minoritaire» en loi. Les grands groupes finan- ciers, les actionnaires font le choix du profit en sacrifiant des centaines de milliers d’emplois industriels. C’est le capital qui est un coût pour l’économie, pas le travail.

Il est urgent, au contraire, de légiférer pour assurer une véritable sécurité d’emploi et de formation; donner aux comités d’entreprise un droit de veto pour s’opposer aux plans de licen- ciements et faire examiner et financer des plans alternatifs. Ces mesures seraient complétées par des lois contre les licencie- ments boursiers et permettant un droit de reprise aux salarié-es. Il est nécessaire d’élargir au maximum d’entreprises la présence et les droits de représentant-e-s des salariés-es dans les conseils d’administration qui puissent débattre des choix stratégiques de l’entreprise et prendre les mesures indispensables pour l’égalité femmes-hommes notamment en matière de salaires.

Ce sont les propositions que les parlementaires du Front de Gauche porteront à l’Assemblée et au Sénat pour faire prévaloir auprès des autres députés de gauche et écologistes une autre logique que ce projet qui précarise toujours plus l’ensemble du monde du travail.

Le 5 mars, à l’appel de la CGT, FO, la FSU et Solidaires, les salariés se mobilisent pour refuser cette régres- sion sociale. Le Front de gauche appelle à soutenir massivement cette initiative et à participer massive- ment aux manifestations qui auront lieu.

Ensemble contre l’accord Medef : le Front de Gauche appelle à populariser et signer massivement l’appel de la campagne unitaire «Un ani qui vous veut du mal ! (www.placeaupeuple.fr)

Une autre politique à gauche est possible.

Le Front de Gauche s’adresse pour cela à toutes celles
et tous ceux qui, souhaitent une politique en rupture avec la financiarisation de la société et le productivisme.

L’alternative à l’austérité, c’est possible !

 

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