J’en ai ras-le-bol d’être Charlie, ras-le-bol d’être le Bataclan, ras-le-bol d’être les terrasses, ras-le-bol d’être Samuel Paty, ras-le-bol d’être Nice…
Des centaines de mes compatriotes ont été fauchés depuis trop longtemps pour que j’accepte de me taire et de me métamorphoser en victimes multiples et innombrables, et ça continue toujours à un rythme de plus en plus effréné.
Ras-le-bol de parler de massacres, d’horreur, d’abjection, de barbarie innommable et qu’il faut pourtant sans cesse nommer puisqu’il s’agit toujours de l’islamisme.
Ras-le-bol de devoir respecter des minutes de silence, de battre le pavé pour apporter mon soutien à la République agressée et ma compassion aux familles des victimes.
Il est grand temps maintenant que la France réagisse, et qu’elle réagisse vigoureusement, que les armes de la République soient utilisées énergiquement contre ses ennemis et que les politiques comprennent enfin que l’intégrité de notre pays est en danger. Pour ce faire, il convient de toute urgence de fermer toutes les mosquées qui, de près ou de loin, montrent la moindre sympathie pour cette idéologie mortifère, que les imams étrangers ne soient plus acceptés dans notre pays et que ceux qui sont à demeure soient expulsés sans autre forme de procès, que la déchéance de la nationalité soit appliquée à ceux qui ont aidé les assassins de quelle que manière que ce soit, que l’Algérie et le Maroc essentiellement se mêlent de leur religion, chez eux, et n’aient plus aucun regard sur le fonctionnement de la hiérarchie de l’islam de France (à moins qu’il leur vient la bonne idée d’éjecter la religion de toutes les réflexions publiques), que tout ce qui est contraire à la loi soit interdit dans le paysage : prières de rues, burqa, polygamie cachée…
C’est sur ces bases qu’il convient de lutter contre les agresseurs de notre unité républicaine et de sauvegarder les liens qui nous unissent au drapeau et aux valeurs qui nous caractérisent.