Nous sortons des cérémonies de célébration de l’armistice de la 1ère guerre mondiale. Le Président n’a pas été capable de traverser cette période –pourtant propice à unité nationale- la tête haute. Outre son invitation à Erdogan, l’islamiste turc, qui a saisi l’occasion pour défiler dans les rues de Paris en faisant le signe des Frères Musulmans, outre, à rebours, « l’oubli » d’inviter la Serbie, alliée fidèle de la France dans ce conflit, Macron a osé évoquer Pétain, le collaborateur antisémite, traitre à la nation, dégradé, frappé d’indignité nationale et démis de tous ses titres, condamné à mort à la Libération (peine commuée par De Gaulle en raison de son âge), parmi les maréchaux à honorer.
Une gaffe de plus ? On peut se poser la question.
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