Jusqu’au bout Résistance Sociale a oeuvré pour aboutir non pas à ce que les adversaires de l’unité appelait à un « ralliement », mais à un dialogue qui aurait permis sur la base d’un programme négocié –et facilement négociable si la volonté avait été au rendez-vous- à la présentation d’un « ticket » présenté devant les Français, d’un président et d’un 1er ministre. Mais la volonté n’était pas au rendez-vous, mais d’autres intérêts n’ont pas permis cette démarche.
L’alternative sera donc pour ce 2nd tour de la présidentielle entre, d’un côté, le candidat des banques et du patronat, aux manettes de François Hollande depuis 5 ans et à l’origine de la destruction du système social de notre pays et, de l’autre, la candidate d’extrême-droite. Jean-Luc Mélenchon et Benoit Hamon portent la responsabilité de l’absence de la gauche au 2nd tour de la présidentielle.