… qui, non, non, non, ne sont pas aux ordres.
D’ailleurs, c’est vrai, ils ne sont pas aux ordres, ils sont seulement aux mains des financiers ; ils n’ont pas besoin de recevoir d’ordres pour défendre leurs intérêts. Donc, le mouvement s’essouffle. C’est, du moins, ce que le gouvernement espère.
-Les dépots d’essence sont bloqués ? Oui mais le mouvement s’essouffle.
-Les raffineries sont bloquées ? Oui mais le mouvement s’essouffle.
-L’accès à des zones industrielles ou à des plateformes d’approvisionnement de supermarchés est bloqué ? Oui mais le mouvement s’essouffle.
-L’accès à certains aéroports est bloqué ? Oui mais le mouvement s’essouffle.
-Des gares, des voies ferrées sont bloquées ? Oui mais le mouvement s’essouffle.
-Des dépots, des usines d’incinération ou de traitement des déchets sont bloqués ? Oui mais le mouvement s’essouffle.
-1300 lycées, 33 universités sont bloqués ? Oui mais le mouvement s’essouffle.
Les organisations syndicales semblent avoir gardé un peu de souffle cependant car elles appellent à 2 journées de grèves et de manifestations les jeudi 28 octobre et samedi 6 novembre.
Dans l’unité, continuons le combat. On va gagner !
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