… et Attali le prouve dans son rapport remis à Sarkozy.
Déjà en janvier, le Président Sarkozy s’était dit « d’accord pour l’essentiel » avec les 316 propositions du 1er rapport de Jacques Attali. Sarkozy s’était opposé à la suppression des départements et la libéralisation des officines de pharmaicie. Encore un effort, voyons, M. le Président pour être digne de ce grand pseudo-économiste de gauche !
Aujourd’hui, le 2ème rapport Attali enthousiame toujours autant les libéraux. Parmi ses succulentes propositions, notons quand même celle qui consiste à instaurer un « contrat de travail à droits progressifs ». Rien d’original, par contre, dans les autres mesures : le blocage des salaires des fonctionnaires, la mise sous condition de revenus des allocations familiales et le non-remplacement d’un fonctionnaire territorial sur deux partant à la retraite. La commission Attali préconise également le déremboursement de médicaments et la mise en place d’une participation financière des malades en affections de longue durée (cancers, diabète…) actuellement pris en charge à 100% sans condition de ressources.
Eh bien au moins, les choses sont claires.
0 Réponses à “Quand on est un « libéral de gôche », on devient toujours un « libéral de droite »”