Moi, qui depuis « L’Imprécateur » ne ratait pas un livre de R-V. Pilhes, j’avais loupé en 1988 la sortie de « L’Hitlérien ». Et c’est totalement par hasard que j’ai découvert ce roman au moment où l’armée israélienne a intercepté une flotille en direction de la Palestine.
Un livre qui, comme toujours avec René-Victor PILHES, fait réfléchir.