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Archive mensuelle de octobre 2009

L’euro à 1,5 dollar : à qui ça profite ?

Je m’énerve, je m’énerve devant ma télé !

Le journaliste vient d’annoncer d’un air triomphant que l’euro est à 1,5 dollar. Et il est tout content, tout fier.

Il parait qu’ « on n’a jamais vu autant de Français à New-York pour aller faire du « shopping« . Et allons-y pour les images de quelques bo-bos / bling-bling qui font leur « shopping » et vous expliquent que c’est « super cool« . Vous allez faire votre « shopping » à N-Y, vous ? Je me demande si dans la cité, à 200m de chez moi, ils vont faire leur « shopping » à N-Y ? Leur allocations chômage y sont pourtant mieux côtées. Faudra que je leur dise ! Non, mais franchement, ils vivent sur la lune, les journalistes ?

Ah, quand même, il signale, le journaleux sur l’écran, que les touristes américains ne viennent plus trop en France et que ceux qui y viennent ont un budget serré et dépensent peu. Quand on sait ce que représente la part du tourisme dans notre économie, ça ne rassure pas. Et je ne voudrais pas insiter sur notre commerce extérieur, ce serait indécent…

Bon, le voila reparti dans l’euphorie : « Le dollar va continuer à chuter, les Français pourraient continuer à en profiter quelques temps » dit-il. Mais de quels Français il parle, bon D’la ?

Premières impressions des « 7èmes Vendémiaires » de RESO

Accueillis par Christian Hutin, député-maire de Saint-Pol-sur-Mer, une centaine de participants se sont retrouvés samedi 17 octobre à la Maison du Méridien de Dunkerque Malo-les-Bains pour les « 7èmes Vendémiaires » de Résistance Sociale, association nationale loi 1901 constituée en 2003 pour contribuer à favoriser l’échange entre militants politiques, associatifs  et syndicaux.

Une quinzaine de personnalités engagées dans le milieu syndical (CGT, FO, CFDT, CFTC), associatifs (Convergence nationale pour la défense et le développement des services publics, Collectif national de défense des hôpitaux publics et des maternités de proximité, R&S, M’PEP) et politiques (PS, PCF, PG, MRC, Verts) se sont réunis pour débattre entre eux et avec les citoyens de Dunkerque. Diverses problématiques, autour de la question posée « Comment articuler Résistance Sociale et alternative au capitalisme ?», furent abordées.

Cette grande diversité a permis des débats riches, construits et à un véritable échange et dialogue entre les intervenants et avec la salle.

> De l’avis de tous, la crise sociale qui touche la France est réelle : bientôt 10 % de chômeurs officiels, précarisation généralisée (explosion des demandes de RMI et diminution de 20 % des CDI). Si la spéculation a repris (+50 % pour le CAC 40 depuis mars), les fermetures d’usines, les délocalisations, etc. continueront à se développer dans les mois à venir. Si l’argent public à sauvé les banques du nauffrage, les intervenants n’attendent rien d’elles en retour. Les attaques à répétition du gouvernement vis-à-vis du code du travail, des conditions de travail et des services publics (EDF-GDF, SNCF, La Poste…) laissent craindre une aggravation de la crise. La réalité que vivent les Français est la réalité sociale, non celle des marchés financiers.

Le matin fut l’occasion d’une réflexion commune autour du thème «Comment l’idéologie libérale peut-elle encore rester aux commandes. Comment Résister ?» très heureusement complétée par l’interrogation de la seconde table-ronde de l’après-midi « Comment créer les conditions de la résistance sociale et de l’alternative politique ».

L’ensemble des intervenants s’est accordé pour admettre que la lutte idéologique semble en défaveur des libéraux qui simulent désormais leur action sous des accents jaurésiens. Il semble évident pour tous que l’idéologie libérale est malmenée par les mobilisations des salariés, des élus et des citoyens.

Depuis 6 ans beaucoup de chemin a été parcouru. A cette époque, seule notre association réussissait à faire débattre publiquement un aussi large spectre politique, associatif et syndical pour deux raisons : il y avait une méfiance voire un mépris entre organisations syndicales et partis politiques et chaque groupement pensait avoir raison seul contre les autres. Aujourd’hui la multiplication des collectifs, des comités unitaires et la pluralité des débats publics montrent que la phase de convergence est enclenchée.

Cependant ces luttes unitaires restent sectorielles. D’où les difficultés selon les intervenants d’organiser la résistance pour inverser le rapport de force afin de passer à l’offensive. Ils souhaitent travailler l’unité du trépied organisations-citoyens-élus et leurs points de convergences. Il faut ancrer ceux-ci dans le réel afin d’expliciter notre conception d’une autre société basée sur la solidarité et la fraternité.

Comme l’a rappelé Patrice Bessac, jeune porte-parole du PCF, il faut rechercher le maximum de convergences avec les différentes organisations de gauche, approfondir le dialogue avec les organisations syndicales en débattant sur le fond sans concessions.

Tout le monde a semblé s’accorder qu’il faut travailler à l’articulation entre forces syndicales et forces poilitiques. C’est « la réalité des faits », selon Didier Rossi, reponsable FO-Communication qui impose de dépasser les complexes historiques et les réserves des uns et des autres.

Les divergences les plus dures à dépasser semblent être la conception européenne et la croissance.

Si l’idée de Jacques Nikonoff, porte parole du M’PEP,  que la gauche doit assumer le rejet de l’Europe libérale en demandant la sortie de la France de l’Union européenne ne fait pas l’unanimité, la souverainté des peuples reste pour tous indiscutable : les peuples doivent décider de leur sort, leurs décisions ne peuvent pas être remises en cause, les biens communs doivent être constitutionnalisés.

Peu d’enthousiasme a été soulevé par Laurent Boughedada, responsable des Verts, lorsqu’il insistât sur la décroissance. Mais la discussion révélât un possible rapprochement : l’idée d’une nouvelle production atoujours été historiquement portée par la gauche. Il faut trouver un nouveau mode de croissance qui ne se fasse pas au détriment des salariés et des pays pauvres.

Autre consensus sur la nécessité d’en finir avec des institutions qui, depuis l’inversion du calendrier et le quinquennat, empêchent l’émergence d’autre chose que d’écuries présidentielles. Aussi l’idée des primaires n’a pas semblé susciter un large enthousiasme.

Par contre l’idée de rencontres de cadres intermédiaires syndicaux, politiques et associatifs semble avoir fait plus consensus à condition qu’un tel regroupement soit déconnecté de toute structure partisane. Cela pourrait permettre aux cadres intermédiaires politiques, syndicaux et associatifs de pouvoir dialoguer et peser dans le même sens : c’est une des conditions d’une large convergence.

Autre point d’accord pour tous, seuls les libéraux semblent avoir pris conscience que la lutte des classe était toujours d’actualité. Les salariés représentent désormais 91 % de la population active dont au moins 20 % d’ouvriers. Il y a là des intérêts convergents à faire valoir. La gauche doit donc renouer avec le peuple c’est-à-dire le salariat.

L’urgence d’une convergence rapide sur le dossier des retraites. Il semble vital pour tous de sauver la retraite par répartition  mais pas au point de la vider de tout contenu : beaucoup d’ouvriers meurent après quelques mois de versements, voire avant même l’âge légal de départ contrairement aux cadres ou à certains employés du tertiaire. La prise en compte de la pénibilité doit se faire via l’espérance de vie par catégorie sociale professionnelle : celle-ci est de plus de 15 ans !

De nombreux autres points ont été abordés comme la fiscalité, la démocratisation des institutions et du fonctionnement des services publics, le droit de veto des représentants du personnel au CA, la professionnalisation de la politique,  le statut de l’élu, l’internationalisme et l’universalisme, la charte de la Havane …

A la sortie tout le monde semblait s’accorder sur le haut niveau de débat de ses « Vendémiaires », certainement les meilleures selon Claude Nicolet (MRC), assidu depuis 2003, mêmes si les pistes doivent être approfondies, la multiplicité des axes de convergences et le vouloir travailler ensemble semblent évidents. Tout le monde souhaite non pas une simple alternance mais une véritable alternative.

Certains participants, devant la richesse des débats, ont même failli manquer leur train, à l’heure du retour ! Rendez-vous est donc pris pour des 8ème vendémiaires ?

7èmes « Vendémiaires » de RESO

Je vous attends tous demain SAMEDI 17 OCTOBRE à partir de 10h à la salle du Méridien à Dunkerque – Malo-les-Bains.

Allez, un peu de pub sonore : http://www.deltafm.fr/actu/actu-14187.html#

 et écrite : voici l’annonce qu’a faite le journal local   7èmes articlelephare.pdf …

Programme complet sur www.resistancesociale.fr (rubrique Vendémiaires)

Nous avons une salle magnifique :   img00100.jpg  et le Nord est une vieille terre de militantisme. Gageons que nous passerons une belle journée !

 

Il s’en passe de drôles à l’Institut catholique de Paris…

 Je relaie ci-dessous une information dont j’ai été destinataire par courriel.

Envoyé le : Mer 14 Octobre 2009, 23 h 23 min 53 s
Objet : [CAL] Incroyable mais vrai : à l’Institut catholique de Paris seront remis, le 24 novembre, les insignes de docteur honoris causa à l’archevêque putschiste de Tegucigalpa, Oscar Rodriguez Maradiaga et à Michel Camdessus, ancien directeur général du FMI

Bonsoir

Le 24 novembre, à  l’Institut catholique de Paris, seront remis les insignes de docteur honoris causa à l’archevêque putschiste de Tegucigalpa, Oscar Rodriguez Maradiaga (par l’archevêque de Clermont), et à Michel Camdessus, ancien directeur général du FMI (par Jean-Claude Trichet).  Lire l’article de Bernard Cassen  » A la « Catho », hommage au cardinal putschiste de Tegucigalpa et à l’ancien directeur général du FMI »(http://www.medelu.org/spip.php?article282).


Un casting à peine croyable et qui frôle la provocation !


C’est pourquoi Mémoire des luttes propose à toutes les organisations membres du CAL de se retrouver le mardi 27 octobre à 18h30 dans ses locaux, 3, avenue Stephen Pichon, 75013 Paris, pour réagir.


Parmi les premières actions possibles proposées :


- délégation au Quai d’Orsay pour exiger le refus du visa d’entrée en France au cardinal Maradiaga

- délégation auprès du recteur de l’Institut catholique et du cardinal André Vingt-Trois pour faire annuler l’invitation

- délégation auprès de l’archevêque de Clermont pour qu’il refuse de participer à cette mascarade

- information et mobilisation des partis politiques ayant condamné le coup d’Etat au Honduras

- délégation auprès de l’ambassade du Honduras à Paris (restée fidèle au  président Zelaya) pour lui manifester notre solidarité 

- information auprès des ambassades latino-américaines à Paris


Si la cérémonie est maintenue : organisation d’une manifestation le 24 novembre.

Un Américain parle de la France

C’est l’humoriste américain Bill Maher qui se lâche ! C’est  assez inattendu car la France dont il parle -et qui nous est si chère- n’est-elle pas celle que la droite (et… plus) est entrain de détruire ?

http://www.video-actu.com/un-americain-parle-de-la-france-82121.html 

Faites circuler cette vidéo : elle nous apprend aussi que tous les Américains ne sont pas des réactionnaires ignorants et que Obama aura -peut-être- quelques petites chances… de changer le système américain de santé !

Non, il n’est pas inéluctable de privatiser le service public postal. La preuve par le Japon !

Le patron de la Poste japonaise prié de démissionner par le gouvernement

le 6/10/2009 à 10h37  par AFP   

Le secrétaire d’Etat japonais aux Services financiers, Shizuka Kamei, a exigé lundi la démission avant fin octobre du PDG de la Poste Yoshifumi Nishikawa, en raison de son hostilité au projet du nouveau gouvernement nippon de geler la privatisation de son entreprise. « Nous ne pouvons admettre que les services postaux soient dirigés par quelqu’un qui n’est fondamentalement pas d’accord avec le gouvernement », a déclaré M. Kamei dans un discours à Tokyo. « Nous allons passer drastiquement en vue les services postaux », a poursuivi le secrétaire d’Etat. « Il est absolument nécessaire de renouveler de fond en comble la direction d’ici fin octobre », a-t-il ajouté, en appelant les dirigeants de la Poste à démissionner d’eux-mêmes au lieu d’être limogés. Yoshifumi Nishikawa, ancien PDG du géant bancaire Sumitomo Mitsui Financial Group (SMFG), avait été recruté pour mener à bien le processus de privatisation de la Poste, démarré par le Premier ministre libéral Junichiro Koizumi en 2005.

En juin dernier, M. Nishikawa avait été accusé d’avoir tenté de vendre à un homme d’affaires de ses connaissances une chaîne d’hôtels appartenant à la Poste, à un prix nettement en-dessous du marché. Poussé à la démission par le ministre des Affaires intérieures, il avait sauvé sa tête grâce au soutien inespéré du Premier ministre de l’époque, Taro Aso.

Considérée comme la plus grande banque du monde, la Poste japonaise a déjà été transformée en holding de droit privé détenue à 100% par l’Etat et coiffant quatre filiales (épargne, assurance, courrier, gestion des bureaux de poste). Ces filiales devaient, en principe, être progressivement vendues à des investisseurs privés entre 2010 et 2017.

Arrivé au pouvoir à l’issue des législatives du 30 août, le Parti démocrate du Japon (PDJ) du nouveau Premier ministre Yukio Hatoyama a promis de geler cette privatisation controversée, dont M. Kamei est l’un des plus farouches opposants. Le gouvernement soumettra un projet de loi en ce sens fin octobre au Parlement japonais, qui devrait l’adopter « sans délai », a affirmé le secrétaire d’Etat.

2 millions et demi de votants pour La Poste !

Près de 2,5 millions de citoyens se sont déplacés, en grande majorité, pour dire « non » au projet de privatisation du gouvernement.

Bien sûr, celui-ci se défend : « ce n’est pas une privatisation, juste une ouverture du capital » ; et puis cette « votation citoyenne n’a aucune légalité ». Pour une fois c’est peine perdue pour la communication de la droite : les Français se sont exprimés et ils le savent. Ils ont fait la démarche de se rendre dans les mairies, sur les marchés, devant les gares ou les bureaux de poste, pour dire NON. C’est un sursaut, une réappropriation de la citoyenneté comme sait quelquefois en faire notre peuple.

C’est aussi une victoire de la gauche dans son unité. Cette unité a été obtenue parce que voulue et construite par les cadres intermédiaires des partis politiques, des syndicats. Parce que ces militants-là savent se mettre au service d’une idée au dessus des considérations partisanes et simplement électorales. Parce que ce qui était en jeu, un secteur essentiel du service public, méritait, pour eux, cette formidable mobilisation. Les Français ont su donner une leçon à leurs prétendues élites et les militants politiques, syndicaux, associatifs à leur directions respectives.

Ci dessous le communiqué que j’ai publié au nom du Groupe MRC au Conseil de Paris et, sur www.resistancesociale.fr, le communiqué de RESO. Nous n’avons pas encore complètement gagné : il faut obtenir le retrait de ce projet.

  »Votation citoyenne sur le changement de statut de la Poste :

un succès qui démontre l’attachement des Français au service public postal

et leur souhait de s’exprimer sur son évolution.

Avec plus de 2 millions de votants, dont plus de 100 000 à Paris, la votation citoyenne organisée par le Comité national contre la privatisation de la poste, pour un débat public et un référendum, est un formidable succès. 

Les Françaises et les Français ne se sont pas laissés abusés par les dénigrements de la droite et du gouvernement. Ils ont compris que, si cette consultation citoyenne n’avait pas de valeur juridique, elle constituait un excellent moyen de montrer leur attachement au service public postal. 

En premier lieu, il faut remercier les citoyennes et citoyens qui se sont exprimés dans tout le pays et particulièrement celles et ceux qui ont exprimé leur refus du changement de statut et ont compris, malgré les propos rassurants du gouvernement, qu’il s’agissait bel et bien de la dernière étape avant la privatisation de la poste.

Si le projet gouvernemental est voté, une simple augmentation de capital suffira, en effet, pour que la part de l’Etat devienne minoritaire comme cela a été le cas pour France Télécom et Gaz de France.  Quant aux promesses du gouvernement, on sait quelle crédibilité il convient de leur accorder. On se souvient encore des propos d’un certain Nicolas Sarkozy, alors Ministre des Finances, jurant à l’Assemblée Nationale que jamais la part de l’Etat dans le capital de GDF ne serait minoritaire. On sait comment çà s’est terminé avec le mariage GDF/Suez. 

En second lieu, il faut bien sûr féliciter le Comité national et les 60 organisations participantes, dont le MRC, mais aussi les élus et notamment les maires qui ont apporté leur concours à l’organisation de cette votation citoyenne en faveur d’un service public qui n’a pas de précédent. A Paris, notre groupe a été à l’initiative, dès avril, du soutien apporté par la Mairie de Paris à cette consultation populaire. Beaucoup d’élus MRC de province ont, bien sûr, fait de même. 

Le Président de la République et le gouvernement ne peuvent pas rester sourds à l’appel du peuple. Ils doivent retirer le projet de loi prévu à l’ordre du jour du Sénat le 2 novembre et prendre le temps d’organiser un réel débat public et un référendum sur le changement de statut. 

Le 3 octobre, n’est qu’un commencement. En tant que présidente du groupe MRC au Conseil de Paris, je salue le Comité national et me réjouis de la décision prise par lui, ce lundi 5 octobre, de poursuivre et amplifier son action jusqu’au retrait du projet de loi ou à l’obtention d’un référendum. » 

Le 3 octobre, VOTEZ !

 Consultation citoyenne sur la poste   Depuis le début de la semaine, la consultation citoyenne organisée par le COMITE NATIONAL CONTRE LA PRIVATISATION DE LA POSTE ET POUR L’ORGANISATION D’UN REFERENDUM a commencé. Elle s’est particulièrement tenue sur les lieux de travail. Ce SAMEDI 3 OCTOBRE 2009, elle aura lieu dans les gares, sur les marchés et dans de nombreuses mairies sur l’ensemble du territoire national.

Le 3 octobre, déplacez-vous :

allez VOTER

CONTRE LE CHANGEMENT DE STATUT

 DE LA POSTE,

prélude à sa privatisation.

 mbachebdelanoe1.jpg  Et moi, j’ai voté, avec le Maire de Paris et les autres présidents de groupe de gauche, en avant première le jour du Conseil de Paris ; la preuve  ! 

Retrouvez ici l’excellent diaporama que j’avais déjà publié le 28 septembre : lapostevotation3octobre1.pps

Vous trouverez tous les lieux de vote sur www.appelpourlaposte.fr

Je vous recommande un article…

Gérard Beillard habite à Saint-Berthevin (Mayenne); il travaille à temps partiel en tant qu’ouvrier dans une entreprise textile de Laval. Il a écrit, sur le blog de mon camarade, Michel Sorin son mécontentement à l’égard des dirigeants de notre pays. C’est intéressant : je vous invite à aller le lire.

   http://mrc53.over-blog.com/article-36687239.html




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